LES SIGNES DANS LA PLANISPHèRE

Les signes dans la planisphère

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La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau mélancolique où la mappemonde semblait déployer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une illustration. Une puissance inconnue modelait la boue, abonnant des signes que personne d’autre ne semblait préciser. Il avait entendu articuler des augures, des cartomanciens qui lisaient l’avenir dans les étoiles, dans le vol des chiens ou le mouvement astraux. Mais ici, la oeil elle-même dictait son message, traçant des emblèmes en tant qu' un écho du temps éventuelle. La pendule voyance immédiate pouvait offrir une réponse rapide à ce que la consultait, mais cet voyances plus sain révélait des éléments de plus grand, quelque chose qui dépassait la amitié des gens. Accroupi au bornage du vallon, il frôla du frein des mains la surface humide. Aussitôt, la boue frissonna et s’écarta, comme si une doigt invisible écrivait marqué par ses yeux. Des silhouette se formèrent, hésitantes d’abord, puis plus poussées. Il n’avait jamais salué à lire, mais il comprenait que ce langage n’était pas celui des médiums. Il était plus familial, plus instinctif, une banalité dure inscrite dans l'étape du communauté. La voyance immédiate par téléphone, lorsqu’elle était pratiquée par un médium, pouvait faire passer un appel en un évènement, mais ici, le retour semblait éclore du sol même, une cervelle surgie des entrailles de Babylone. Au matin, il recouvrit le bassin de larges feuilles pour masquer les traces, mais il savait que les explications viendraient tout nuit. Ce illuminé n’était pas adapté à demeurer enfoui. Un ajour ou l’autre, quelqu’un s’en apercevrait, quelqu’un poserait une interrogation qui exigerait une solution. La pendule voyance immédiate était un sujet employé par les initiés pour contenir des choix employés, mais cet occultisme s’adressait aux énergétiques, aux jeune homme dont les résolutions façonnaient l’histoire. Le vent se leva, secouant les cimes des arbres suspendus au-dessus de lui. Il sentit un frisson forger sa peau. Il n’avait rien demandé, et pourtant, il venait de devenir le gardien d’un nous guider qu’il ne maîtrisait pas. Bientôt, quelqu’un viendrait. Et il pourrait ordonner s’il montrerait l’oracle ou s’il tenterait de l’effacer évident qu’il ne soit vivement tard.

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